Ces modèles représentent l’aboutissement final d’études approfondies de la décomposition modulaire optimale de la coque de base (soubassement et corps de la voiture substantiellement unifiés, trois variantes de pavillon) et ceci également en fonction d’une meilleure rationalisation des technologies de production comme nous le verrons par la suite. Cet objectif a été du reste préfiguré dans la conception de structure elle-même (châssis-coque) de la carrosserie Renault 12 (voir Style Auto n. 25) par la berline quatre portes, c’est-à-dire que les versions deux portes dont il est question aujourd’hui en sont des dérivés. Les alternatives offertes par ces trois modèles de carrosserie se trouvent multipliées par les trois variantes mécaniques susceptibles d’y être adaptées selon les cas, conformément au schéma reproduit à la page 9. Un tel éventail de possibilités permet évidemment de satisfaire les goûts et préférences diverses – mais surtout les différentes possibilités économiques encore plus variables avec une augmentation de prix de revient réduite pour le constructeur au minimum.
